chroniques de xélior
Les pokémons sont répertoriés selon plusieurs critères, notamment leur type. Un pokémon peut avoir jusqu'à deux types à la fois, ce qui est le cas du vorastérie : il est de type poison et eau. Il existe de nombreux autres types dont je vous parlerai plus tard.
Là, je dois réfléchir aux faiblesses des vorastéries. Le type poison est vulnérable aux attaques de type psy et sol, tandis que le type eau perd face aux types plante et électrique. Toutefois, et c'est là toute la difficulté des combats, chaque type possède également des résistances. Ainsi, le type poison résiste face au type plante. L'attaque Feuille Magique que j'ai apprise du bulbizarre de Marcus serait donc inefficace.
Je n'ai même pas le temps de lancer ma première attaque que je reçois déjà une nuée de dards empoisonnés. Je m'attendais à être K.O. mais les dards sont retombés au sol. Ils semblent avoir heurté une espèce de champ de force.
Je baisse les yeux et découvre l'identité de mon sauveur : ce n'est ni plus ni moins que le pokémon à qui les vorastéries s'en prenaient plus tôt, au vue de ses ecchymoses et des bulles de poison violette qui s'échappent de son corps. C'est un gobou, un mignon petit pokémon de type eau. Il m'a protégé grâce à sa capacité Abri, qui neutralise les attaques ennemies. Cependant, Abri ne peut pas être utilisé deux fois de suite, c'est donc à moi de nous sortir de cette situation.
Les vorastéries crient de colère et se précipitent vers nous en secouant leurs appendices gorgés de poison.
Le gobou s'écroule, manifestement épuisé. Je lance donc une capacité Choc Mental découverte auprès d'un psykokwak que Marcus avait examiné le mois dernier. Je n'avais pas encore eu l'occasion de la tester. Les vorastéries sont touchés de plein fouet par mes ondes psychiques. Certains tombent même à terre. Puis ils détalent en promettant de revenir se venger. Mais peu m'importe. Pour l'instant, ma priorité revient à ce gobou plutôt mal en point.
Je sors de ma trousse de premiers secours l'antidote en spray. Je le vaporise sur les contusions les plus inquiétantes mais ça ne semble pas avoir beaucoup d'effet, à part de faire gémir mon petit protégé. Ça doit piquer. Le corps du gobou contient sûrement une trop grande quantité de poison pour que mon remède soit efficace. Je dois l'emmener de toute urgence à l'hôpital de Bourg-Galette !
Là, je dois réfléchir aux faiblesses des vorastéries. Le type poison est vulnérable aux attaques de type psy et sol, tandis que le type eau perd face aux types plante et électrique. Toutefois, et c'est là toute la difficulté des combats, chaque type possède également des résistances. Ainsi, le type poison résiste face au type plante. L'attaque Feuille Magique que j'ai apprise du bulbizarre de Marcus serait donc inefficace.
Je n'ai même pas le temps de lancer ma première attaque que je reçois déjà une nuée de dards empoisonnés. Je m'attendais à être K.O. mais les dards sont retombés au sol. Ils semblent avoir heurté une espèce de champ de force.
Je baisse les yeux et découvre l'identité de mon sauveur : ce n'est ni plus ni moins que le pokémon à qui les vorastéries s'en prenaient plus tôt, au vue de ses ecchymoses et des bulles de poison violette qui s'échappent de son corps. C'est un gobou, un mignon petit pokémon de type eau. Il m'a protégé grâce à sa capacité Abri, qui neutralise les attaques ennemies. Cependant, Abri ne peut pas être utilisé deux fois de suite, c'est donc à moi de nous sortir de cette situation.
Les vorastéries crient de colère et se précipitent vers nous en secouant leurs appendices gorgés de poison.
Le gobou s'écroule, manifestement épuisé. Je lance donc une capacité Choc Mental découverte auprès d'un psykokwak que Marcus avait examiné le mois dernier. Je n'avais pas encore eu l'occasion de la tester. Les vorastéries sont touchés de plein fouet par mes ondes psychiques. Certains tombent même à terre. Puis ils détalent en promettant de revenir se venger. Mais peu m'importe. Pour l'instant, ma priorité revient à ce gobou plutôt mal en point.
Je sors de ma trousse de premiers secours l'antidote en spray. Je le vaporise sur les contusions les plus inquiétantes mais ça ne semble pas avoir beaucoup d'effet, à part de faire gémir mon petit protégé. Ça doit piquer. Le corps du gobou contient sûrement une trop grande quantité de poison pour que mon remède soit efficace. Je dois l'emmener de toute urgence à l'hôpital de Bourg-Galette !